Mère Teresa : Un Héritage d’Amour et d’Altruisme
« Ce qui compte ce n’est pas ce que l’on donne, mais l’amour avec lequel on donne. »
Mère Teresa
Mère Teresa, née Agnès Gonxha Bojaxhiu le 26 août 1910 à Skopje, en Macédoine, est une icône du dévouement envers les plus démunis.
Sa vie a été un exemple d’amour inconditionnel et de service envers les plus vulnérables. Fondatrice des Missionnaires de la Charité, elle a dédié sa vie à aider les pauvres, les malades et les marginaux du monde entier.
En 1979, elle a reçu le prix Nobel de la paix pour son travail humanitaire, mais elle a toujours considéré que son plus grand trésor était le service désintéressé envers les autres.
Elle s’est éteinte le 5 septembre 1997, laissant derrière elle un monde transformé par son exemple.
Mère Teresa nous rappelle, qu’à travers de simples gestes de compassion envers les plus démunis, chacun de nous détient le pouvoir de changer le monde. Son héritage incite à méditer sur la portée de l’amour et de la sollicitude, nous encourageant à être des acteurs du changement dans une époque qui a tant besoin d’altruisme et d’espoir.
L’ange céleste de Mère Teresa a entrepris un voyage spirituel jusqu’aux confins de Skopje, où il a retrouvé l’étreinte chaleureuse de sa terre natale. Celle qui a vu naître Mère Teresa et qui, aujourd’hui, abrite majestueusement la demeure-souvenir dédiée à sa sainte mémoire.
Ce lieu spirituel s’est érigé en un symbole nouveau pour Skopje, renfermant des reliques sacrées de la bienheureuse Mère Teresa, ainsi que des sculptures délicates. Une galerie d’expositions s’y déploie avec grâce, orchestrant des événements culturels où la magie se mêle à l’âme.
Aujourd’hui, cette demeure bénie accueille un être de lumière en plus : l’ange sacré de Mère Teresa à rejoint une jolie vitrine, qu’il partage avec la guirlande de sœur Nirmala Joshi, digne successeure de Mère Teresa.
Maison mémoriale de Mère Teresa – Skopje Macédoine
Poème sur le bonheur de Mère TERESA
Le bonheur, c’est tout petit,
Si petit que parfois on ne le voit pas.
Alors on cherche, on cherche partout.
Il est là, dans l’arbre qui chante dans le vent.
L’oiseau le crie dans le ciel,
La rivière le murmure,
Le ruisseau le chuchote,
Le soleil, la goutte de pluie le disent.
Tu peux le voir là, dans le regard de l’enfant,
Le pain que l’on rompt et que l’on partage,
La main que l’on tend.
Le bonheur, c’est tout petit,
Si petit que parfois on ne le voit pas,
Et on le cherche dans le béton, l’acier, la fortune,
Mais le bonheur n’y est pas,
Ni dans l’aisance ni dans le confort…
On veut se le construire mais il est là,
À côté de nous, et on passe sans le voir.
Car le bonheur est tout petit.
Petit comme nos yeux pleins de lumière.
Et comme nos cœurs pleins d’amour.
Il ne se cache pas,
C’est là son secret.
Il est là, près de nous
Et parfois en nous.